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Secreted by nurse bees, royal jelly is a food reserved for the queen and young larvae. Just like propolis, its power comes from the specific combination of its various constituents. Take one natural active component of royal jelly, separated from the others, and its specific efficacy is reduced. The combined effects of the different components of a product is what we call synergy. In the case of royal jelly, this synergy ensures the proper functioning of the bees' individual immune system (as opposed to propolis which can be considered an immune system of the whole hive). For the queen, it also provides stimulation for her reproductive function. This is crucial considering that the queen lays up to 2,000 eggs per day and lives thirty times longer than her worker bees.
Our royal jelly is precious and deserves the best. To better preserve it, we have selected a natural, non polluting packaging material: authentic, untreated organic sheep wool. It offers the same insulating power as polystyrene while reducing waste.Find our pure French organic royal jelly here
A major reason for our strict, ecological methods for royal jelly harvest is to protect the queen and her natural reproductive abilities by prohibiting any practices, even legal ones, that do not sufficiently protect her well-being.
Today, to produce royal jelly, beekeepers purchase artificially inseminated queens from specialized producers. However, this method generates animal suffering, even though the suffering of a bee is less noticeable than that of, for example, a cow. In nature, a young unfertilized queen normally undergoes a mating flight and mates with multiple males. This period allows the queen to then lay eggs naturally for the rest of her life. This non intrusive method has been prioritized and gradually implemented since 2019 with our independent partner beekeepers. This is the "Free Love" Guarantee.
When a queen stops laying eggs after about 2 years, conventional beekeepers kill her to introduce a new, completely unrelated productive queen to the hive. However, she naturally lives for 5 years... We can understand beekeepers who want to renew a hive struggling to produce a new queen, but in this case, we now instruct them not to eliminate older queens, and instead to place them in a "retirement" hive. Catherine Flurin, a pioneer in organic and bee well-being, is the originator of this animal welfare innovation, which requires demanding practices that go against a productivity-driven economy. We believe that respect for life is well worth the investment because bees are not "production machines."
Pour que les abeilles fabriquent de la gelée royale, il est nécessaire de mettre en place des ruches spéciales. Certains procédés intensifs, utilisés en particulier en Chine, consistent à éliminer la reine et à pousser en permanence les abeilles orphelines à produire de la gelée royale en leur donnant en toute saison des jeunes larves et de la nourriture artificielle (sucres, protéines). Pas très « sport », ni surtout éthique, vous en conviendrez… De plus, cette méthode ne peut, selon nous, donner les mêmes résultats qualitatifs qu’un élevage naturel. N’oublions pas que la gelée royale est un produit très fragile, et qu’elle est ainsi notamment sensible au stress des nourrices. Par nos pratiques d’apiculture douce, nous veillons à la qualité de la nourriture des abeilles et, bien sûr, à leur bien-être. Nos abeilles butinent librement les fleurs et consomment du miel et du pollen. Bref… Elles vivent leur vie normale d’abeille. Et cela influe positivement (est-ce vraiment une surprise finalement ?) sur la composition et donc la qualité de la gelée royale récoltée.
Nos pratiques respectent également la vie et le rôle de la reine au sein de sa ruche : elle y est présente et continue sa ponte. L’élevage des nouvelles reines se fait dans une autre partie de la ruche dans laquelle on introduit un cadre porteur de cupules (des « mini coupes ») permettant aux nourrices d’élever de nouvelles reines et d’y sécréter quelques milligrammes de gelée royale. C’est cette gelée qui est récoltée, généralement tous les trois jours d’avril à juillet. Ces moments de récolte correspondent en fait à la période naturelle d’élevage pour les abeilles. Inutile de dire que c’est un travail extrêmement précis, qui demande un véritable savoir-faire. De plus, du fait de sa fragilité, la gelée royale doit être récoltée dans de parfaites conditions d’hygiène. Cela concerne à la fois les mains de l’apiculteur ou de l’apicultrice, mais également les outils nécessaires à cette récolte. Nous avons vu comme la gelée royale était produite en Chine. Pour vous en dégoûtez définitivement, intéressons-nous à la façon dont la gelée royale d’Asie est conditionnée pour pouvoir finir dans les rayons des magasins peu regardant, et des pharmacies…
Pour le conditionnement de la gelée royale provenant d’Asie, les conditionneurs achètent de la gelée royale congelée (évidemment puisque elle vient de loin) qu’ils décongèlent pour la mettre ensuite en pot. Pour sa conservation, on injecte dans le récipient un gaz inerte qui va bloquer tous les processus naturels d’évolution du produit. Cette technique, de plus gourmande en énergie, n’est pas des plus propices (doux euphémisme !) pour conserver la qualité « vivante » de ce produit extraordinaire…Nous considérons pour notre part qu’il est de très loin préférable de consommer de la gelée royale fraîchement récoltée en provenance directe de l’apiculteur, ou à défaut de la gelée royale conservée au maximum une année au réfrigérateur (+ 4 °C), pour pouvoir bénéficier de tous ses bienfaits. Le mélange de 2 % de gelée royale fraîche dans du miel permet aussi une très bonne conservation de ce produit et cette préparation est d’ailleurs tout à fait indiquée pour les personnes sensibles.
Le premier critère est sans aucun doute sa fraîcheur. Évitez de choisir un produit congelé ayant subi de longs transports. Évitez également toute présentation trop transformée : lyophilisation, mise sous gaz, comprimés... Les éléments vitaux de la gelée royale sont fragiles : ils ne résistent pas aux différentes transformations ! Si vous en avez déjà goûté, vous savez que le goût de la gelée royale est surprenant : il évoque le goût du miel mais peu sucré et plus acidulé. Une gelée royale de mauvais goût, insipide ou très piquante, est à ranger où elle se doit de l’être : à la poubelle !
Il existe de nombreux producteurs de gelée royale en France et en Europe. Le groupement des producteurs de gelée royale française (GPGR) fait un très gros travail pour développer la qualité et permettre l’installer de jeunes producteurs. Pensez-y lors de votre prochain achat de ce produit extraordinaire !